Premier événement culturel d'envergure en intérieur à Neuchâtel après la première pause forcée liée aux mesures politico-sanitaires du printemps 2020. Des émotions, des grandes.

Un EEG (électroencéphalogramme) et quelques accéléromètres suivent les mouvements physiques et mentaux d'un danseur. Ces données sont utilisées pour générer la bande son sur laquelle le danseur danse... Petite étude des possibilités de rétroaction entre danseur et musique 😎.

Analyser les ondes cérébrales d'un auditeur, et utiliser les composantes alpha, beta, gamma, delta et theta pour désaccorder le son d'un instrument de musique (en l'occurrence, d'un harpejji). Cela produit un effet planant qui modifie l'état mental de l'auditeur, ce qui modifie le son produit, ce qui à son tour...

Des ondes cérébrales qui influencent une synthèse sonore soustractive, un gros tas de matériel sophistiqué et des commentaires poético-décalés... vive les Sorties de chantier!

Pendant que les résidents Pierre-Yves Diacon et Matthieu Amiguet parlent, Elisa Matthey prend en dictée ce qui se dit. Elle le présente de manière décalée lors de la Sortie de Chantier en fin de Résidence. Une Oeuvre témoin qui montre les premiers balbutiements d'un nouveau projet interdisciplinaire.

Texte complet dans le pdf ci-dessous.

Le projet [[P Partitions cérébrales]] débute par une résidence de Pierre-Yves Diacon et Matthieu Amiguet. Ici, Pierre-Yves Diacon teste l'effet de la lecture sur les ondes de son cerveau.